Rayonnement de l’union ...

Baptême de notre Seigneur
(Dimanche 12 janvier 2025)
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Plongé dans le cours de l’eau, IL nous plonge dans le cours de la Parole, où l’Esprit repose…
Est baptisé dans l’eau, l’Esprit qui baptise...
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Le Ciel est entré dans le cours de l’eau, le Verbe irrigue l’esprit, et le coeur des hommes. Parmi les peuples de la Terre, Sa Passion, Sa Croix circulent en ovation…
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La Parole nous donne de tenir fervents dans « l’élan » baptismal...
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Astre vivant, Soleil de l’intérieur, Dieu se répand sur le temps, dans le sang…
Voici le baptême de l’Esprit qu’ouvre la Chair du Fils...
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Le Feu, le Tout Puissant, se mêle en fécondité à l’eau pour communier la pauvreté des hommes à l’enfance éternelle, par un baptême de nouvelle Alliance...
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Passant par le baptême de l’eau, l’Esprit en Christ se fait présent, ardent dans les  attentes du monde…
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« Fragrance » de notre Sauveur mêlée aux flots de la Terre, Lumière salutaire, voyage du Salut annoncé par Jésus…
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Le Ciel se fait « Semence » en Jésus qui s’avance pour Son « versement » dans la Coupe des jours… Semence baptismale de Dieu fait pauvre, mortel, Graine d’Humilité lancée aux quatre vents de l’homme, en énergie d’Esprit…
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Toute la prière au Père tient dans la chair du Fils, voici le baptême des coeurs par Son Coeur baptismal...
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La Sagesse circule au plus clair de l’attente…
Elle entre en intimité avec la chair qu’elle crée...
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Dimanche 5 janvier 2025
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La ferveur des trois Mages, communion de sages,
vient rendre hommage au Sage des sages,
à la Sagesse venue de l’au-delà des âges...
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L’Étoile conduit jusqu’à notre naissance en Dieu, qui nous a fait la grâce de naître en nous, « Éternité » portée dans la chair jusqu’à la mort vécue, Christ donné jusqu’à l’accomplissement de l’Esprit en l’homme…
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Notre plus grande attente, notre plus belle espérance, c’est de battre la joie dans le Coeur du Sauveur, Lui, qui déjà est « épiphanie » dans le nôtre, et cette espérance est déjà une union… IL est notre « rempart » ici-bas, notre « refuge » au-delà...
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L’Éternel irrigue le bois du berceau en naissant, celui de la Croix, en mourant…
Sa Croix brandit l’Innocence pour que vienne la Pureté, que repose l’Esprit en nous… Au chemin d’eau baptismale, l’homme nouveau est vivifié par la Chair du Fils, les coeurs entrent en « verdure » d’espérance…
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Déposons au pied du rédempteur, l’or de nos coeurs, l’encens de nos esprits, la mire de nos âmes… Demeurons sans relâche dans l’action de grâce, qui confirme « l’or » du coeur, et lui donne malgré le brasier du monde, d’aller ardent en Christ, sans se consumer…
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« C’est à la sixième heure environ midi » que Jésus « fatigué par la route »  (Jn 4, 6), à l’Angélus du midi de Son Incarnation, s’assoit près du puits de nos espérances… IL a soif de nos prières, et de nos cœurs livrés…
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La Clarté éternelle a quitté Son Royaume, Son Règne dans les cieux, afin de briller en pauvreté dans la chair, et sur la Croix du monde, Croix féconde de l’Esprit de Vie…
Ainsi, IL a établi sur Terre le Règne de Son Sacrifice, l’élan fécond de l’homme sanctifié… Nos âmes ensemencées s’étonnent dans le chant…
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Flux d’éternité emportant les péchés, Lumière montrée en Jésus crucifié, voici le « rincement » des âmes par l’Eau vive incarnée, l’Horizon de Ses Plaies ; acclamer la Pâque de Son Cœur versé, Dieu est donné, aller en Sa Moisson, au Règne de Sa Croix, reconnaître Ses Mains, Son attente, Sa Joie ; voici les Ailes de la Tendresse traversant nos détresses, d’un trait de Lumière, de Feu, et de Passion…
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En recevant l’Hostie l’on reçoit l’Évangile… Accueillant l’Évangile, nous recevons l’Hostie… L’Évangile est « Nourriture », et l’Hostie est « Parole »…
IL est le Saint des Saints qui dans les cœurs fait « Trace », le Cœur battu dans l’au-delà d’espace, l’Amour venu des confins de la Grâce…
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Au puits de nos existences, Jésus demande à boire…
Sa Croix, Sa Mort ont soif de notre foi, de notre joie, de notre charité…
Et nos cœurs altérés vont par Lui, qui nous demande à boire…
IL entre dans la Soif pour que nos soifs s’achèvent…
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Année Jubilaire 2025:
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Le service d’espérance, la marche en espérance se font les bras ouverts, comme l’a initié Jésus, Lui, le Serviteur premier étendu sur la Croix…
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« Je te ferai « prière » dans le sein de ma Mère,
te donnerai au Père au soleil de midi…
Je poserai tes jours, dans un rayon de Croix,
comblerai ta misère de Mes divins Mystères…
Je viendrai en toi et tu naîtras en Moi…
J’habiterai ton souffle, et tu vivras du Mien…
Je viendrai Frère et Flamme pour embraser ta joie…
La course de ta soif trouvera Source en Moi…
Je monterai ton sang en Saveur d’Évangile…
Tu seras tout en Moi, je serai tout pour toi… »
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Elle étend Sa Main sur l’homme fragilisé par l’ombre, par l’errance… Et le silence de Dieu devient « chant » dans les cœurs… Et, recevant Christ au cœur, L’annoncer de toute existence…
Qu’est-ce que l’Église, quelle est sa plus haute réalité, sinon le « réel », le « concret » de bénédiction de tous par tous ! Aux temps achevés, elle est la grande Famille de bénédiction !
Par elle est annoncée aux hommes de tous les temps, l’universelle Bénédiction du Père par le Fils, au « Geste » de l’Esprit… Afin que repose en la conscience veilleuse et joyeuse de chacun, l’éternité de Paix, l’Unité d’Amour, Dieu Père, Fils, et Esprit…
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J’irai par Toi où Ton Cœur se donne, où mon cœur s’abandonne, j’irai à perdre souffle à Ton Souffle coupé, où s’arrête Ton Cœur, pour nous recommencer !

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J’irai par Toi où toutes perditions viennent se perdre en Croix, pour une mort en Toi !

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J’irai au « sillage » de Toi, en « cime » de Toi, au « soleil » de Toi, par Toi le Christ Pauvre, en Toi le Christ Roi…
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Jamais une telle requête ne fut faite…

Dieu s’expose, s’explore dans une demande faite à Marie…

Et cet « inédit » laisse monter dans les âmes, une joie inédite, étourdissante, éternelle, qui reconnaît et chante, le « Oui » de Celle « choisie entre toutes les femmes »…

Et, avec la Nativité de Marie vient au monde un modèle de réponse au ciel : « je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon votre parole ! » Lc 1, 38

L’univers tout entier tressaille d’allégresse, devant l’attente posée par la réponse faite, la réponse parfaite qui ouvre en l’homme, l’attente joyeuse de Son divin Sauveur…

Et Dieu le « Contenant » s’offre comme le « Contenu »… Mais devenu « Contenu » dans le sein de Marie, IL reste le « Contenant »… « Car rien n’est impossible à Dieu. » Lc 1, 37

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(Sous l’homme qui meurt, le triomphe de Dieu)

Voyez-vous sur la Croix, le Royaume éternel ?

Voyez-vous l’apparence, céder à l’Innocence ?

Voyez-vous Sa Passion, assécher les passions ?

Voyez-vous Ses mains prises, offrir la liberté ?

Voyez-vous de Son Cœur, couler les cœurs sauvés ?

Voyez-vous sur Son front, mourir les vanités ?

Voyez-vous sous le cri, venir la Paix du ciel ?

Voyez-vous par le fiel, venir le « miel » du Jour ?

Voyez-vous sur la chair, se lever la Lumière ?

Voyez-vous sur la Croix, « mûrir » l’Eucharistie ?

Voyez-vous la prière, couler de Son Côté ?

Voyez-vous l’indigence, offrir la satiété ?

Voyez-vous de la graine, jaillir l’épi doré ?

Voyez-vous l’apparence, mûrir l’éternité ?

Voyez-vous sous les cendres, les braises pour demain ?

Voyez-vous « l’arc-en-ciel », le triomphe des cieux,

toutes suavités coulées du Cœur de Dieu ?

Suspendu au vide de l’iniquité, Son Cœur répand la semence de Paix, de Joie, de Vérité, et « tout » par Lui sait recommencer…

Sur la colline Golgotha, le ciel s’incline jusqu’à se joindre aux cœurs, et l’on voit l’Innocence humiliée sous les coups du péché, s’offrir, se partager…

Le triomphe est complet du divin crucifié, mort et ressuscité… Par le « cri » de Son Sang, l’Esprit est appelé…

IL est l’univers entier qui fait « œuvre » de chair, c’est dans la créature que meurt le Créateur…

Dieu emprunte à la faiblesse son humble vêtement, et d’un regard embrasse le cœur de « l’homme-enfant »…

Instant prodige où le ciel meurt en Croix, où l’univers bascule dans cette Vie donnée…

Jésus coule à l’esprit de celui qui s’oublie…

Et la Chair déchirée au divin Sacrifice, unit toutes les chairs…

Toutes pensées lancées dans l’avenir de Grâce…

Et dans Son Sang versé se tient un chaste enfantement, une course joyeuse dans l’espace du Chant, sous le Souffle léger, tous unis au Vivant, nature émerveillée à jamais épousée…

L’Astre longtemps cherché, intérieur et caché, se voit transfiguré en Soleil  contemplé…

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Tendresse du Crucifié

« Oui, il y a du feu, de l’ardeur et du désir d’aimer en ces lignes inspirées de la contemplation et qui peuvent mener au plus grand amour...

À fréquenter ces pages, on recevra en partage, non seulement l’amour de la croix comme chemin sûr de vie spirituelle, mais encore grande espérance et consolation. »

Extrait de la préface de Dom Hugues de Seréville,

Abbé de Notre Dame des Neiges

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L’homme s’éprend de l’Unique à son unicité, sa conscience s’assouplit et s’éclaire à l’épreuve du monde…

L’aventure en Dieu « s’incarne » ici dans un chant écrit… Les mots se veulent serviteurs de louange et, dans la marche poétique de la page écrite, sollicitent humblement la Lumière…

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préface de Claude Pradeilles

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L’âme y témoigne du désir de progresser en Lui, du désir de rendre grâce, d’implorer, de chercher, et chercher encore, de s’agenouiller, de se dresser, de se dresser en s’agenouillant, en s’abandonnant, de palpiter Dieu à l’espace compliceouvert par la Grâce : proche Clarté où s’irisent la prière, la Foi, l’Espérance et la Charité…

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L’âme brûle de tout éloignement de son divin Seigneur, les mots se donnent comme « proximité »…

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Aller au champ de Ton Eucharistie goûter au blé de Ta Passion ; d’un regard de cœur, Te moissonner d’amour…

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Recueil de textes pour les fêtes de l’année liturgique

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Il n’est pas de temps ordinaire en liturgie, chaque jour s’ouvrant, est « fête » du Christ donné, car depuis la Transfiguration, depuis la Croix, depuis l’Ascension de Jésus, depuis Sa Résurrection, le temps de l’homme s’inscrit dans « l’extraordinaire » du Dieu manifesté ; temps d’exultation et d’exaltation à la Lumière Fils…

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préface de Alain Wetterwald

Ces textes viennent proposer une « pulsation » de mots et de phrases à l’émotion ressentie à l’occasion des fêtes de l’année liturgique…

Est ici posé un chemin de prose poétique venu aux débordements du silence, aux jaillissements de la prière, afin de « nourrir » l’attente à Dieu…

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Du monde des contrastes et des oppositions à l'Espace d'Unité

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« L’incarnation, ce « routage » de l’âme dans la chair, est « entrée » dans le Mystère, qui porte en lui « force » de croissance et de germination… »

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Un texte qui réfléchit la venue de Son Règne en chacun de nous…

Révélés cœurs prêtres nous avançons « par Lui, avec Lui » à travers les contrastes et oppositions de ce monde et de la chair, afin d’abonder en Vie, « en Lui » ; une marche de faillibilité vécue en énergie de Croix…

Le Mystère divin irradie une force « étincelle » de croissance, de recommencements… Il y a jeunesse éternelle dans « l’aimer toujours » !

« Décentrés » de nous-mêmes nous allons joyeux en enfance de Lui…

Un ouvrage qui n’appelle pas une lecture « de contention », linéaire et ordonnée, mais bien une lecture en liberté, en « chronologie » de cœur…

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Le sang a peur pour lui-même, a crainte d'être versé...

Mais uni à celui du Christ, la crainte disparaît...

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   préface de Arnaud Rocaboy

Un ouvrage qui chante le « Oui » de lumière et de vérité, le « Oui » sans cesse renouvelé, la conscience aimée de la Présence Père, Fils et Esprit et des deux Fécondités : Dieu « Amour » proche et inaccessible Sagesse…

Dieu se cherche, Dieu se décrit et se dit dans le rassemblement  des mots,  la concision extrême, celle précédant le silence qui est toutes paroles rassemblées…

Trois mots envisagés pour n’en garder plus qu’un ; trois personnes divines pour un Dieu adoré ; poésie en synthèse d’âme et de cœur, poésie en synthèse de jours pour le Jour éternel… Unicité tournée vers l’Unique Parfait…

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Le Proche-Inaccessible, poétique « verticale » tendue vers l’Incréé…

La forme provocante, anguleuse vient pour le maintien d’une lecture en éveil ; poésie « râpeuse », inhospitalière par ses coupes opérées…

Textes verticaux en compression de mots, poèmes en verticalité de phrases ; mots qui cherchent leur ascension, « mots » en quête de verticalité, « mots » dressés vers Dieu, poésie debout en désir de servir ; mots en écho de verticalité, verticalité de la Croix, verticalité de l’homme debout dans la foi en écho de Croix, « oui » érigé en espérance et charité ; l’âme soulevée de résurrection…

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Tiré de la préface de Arnaud Rocaboy (Diacre permanent) :

« La poésie de Dominique BOUFFIES peut dérouter au premier abord... Elle heurte notre côté rationnel... Le poète nous ouvre un univers, né de son propre cheminement enraciné dans une foi vivante. Par pure générosité, il nous fait basculer non pas dans son monde, mais il nous ouvre un espace à nous approprier…

Comme un cerf altéré cherche l'eau vive, mon âme te cherche, toi mon Dieu (Ps 41-42) : ce livre est une contribution joyeuse à cette recherche, une invitation à découvrir en soi sa propre source jaillissante pour la vie éternelle (Jn 4, 14). »

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préface de Claude Pradeilles 

« Ce livre est un trésor qui se recherche et se trouve dans le silence des cœurs. S’il est possible, je pense qu’il est bon d’y ajouter le silence environnant et de lire au moins dix pages d’une traite pour se laisser habiter par les paroles qu’il contient.

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Enfant, ce mot qui parle à chacun de nous est répété comme un refrain au début des phrases qui nous rapprochent de notre Père des cieux, intimement présent dans le silence. Et du silence de l’enfant va naître une musique douce et joyeuse, celle des mots bien sûr, mais aussi celle du texte, avec en leitmotiv l’évocation des instruments bibliques qui résonnent en nous : le cor, la harpe, la lyre, la flûte, la cithare et le tambourin.

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Une excellente pause nous est ici proposée : prenons le temps d’en ouvrir les pages au milieu du livre de notre vie. Nous sommes tous invités et accueillis. »

Claude Pradeilles, Diacre du diocèse de Montpellier

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Dans sa Préface à l’ouvrage Le Lever du Cœur, Monseigneur Léon Soulier (Evêque émérite de Pamiers et Limoges) a écrit :

« Cet ouvrage fait penser aux œuvres de Saint François de Sales par son côté à la fois pastoral, méditatif et intérieur.

Il évoque de nombreuses valeurs : service, solidarité, bienveillance, pardon, réconciliation, vérité, justice, fidélité, espoir, espérance, lumière, amour. « L’Amour déchire l’indifférence du monde, il tient l’homme debout… »

Nous y trouvons donc les valeurs d’humanité et d’autres proches de l’Evangile. Il rappelle que c’est l’Esprit Saint qui fait naître et grandir. Il nous permet de retrouver Marie bénie entre toutes les femmes.

Je souhaite que ce texte soit lu, qu’il aide à prier et à méditer comme il l’a fait pour moi. Peu d’ouvrages parlent du Cœur de Jésus…

Merci à l’auteur. »

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« …j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi, je ne le lâcherai pas. » Cantique 3,4

O Seigneur, inspire nos travaux afin qu’ils te glorifient !

Notre Amour, notre Miséricorde en ce monde, résonnent dans le monde « d’après ».

Toute beauté de cœur en cet instant de chair, est « nourriture » pour demain.

Ainsi, tout ce que nous sommes, fait écho à ce qui sera.

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Qui aime et pardonne « beaucoup », vivra « beaucoup »…

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« Essayer » de servir Dieu, c’est répondre à la Grâce venue, choisir de lancer son cœur dans l’Espace d’infini d’Amour, retomber dans Ses mains.

Mon désir le plus vrai est d’écrire pour Lui : Amour trinitaire, avec pour objectif joyeux de le servir sans relâche, au gré de Sa Volonté. En cela, je n’ai pas de joie plus parfaite dans cette existence où la foi est mon unique richesse.

Ainsi, les ouvrages écrits se veulent « serviteurs » et actions de grâce…

Les mots saignent parfois le « sens » et leur sang le plus fluide vient pour la louange à Dieu…

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J’ai eu le privilège de lire les ouvrages de l’écrivain de spiritualité Dominique Bouffies.

Tout un univers de pensées profondes, subtiles, vivifiantes s’est ouvert en moi, grâce à la richesse des textes propice à l’élévation des âmes.

Par sa très grande foi en Dieu, par sa dévotion au Cœur de Jésus, par sa croyance en l’Esprit de Sainteté, l’auteur nous conduit sur le chemin de Vie, vers la transcendante et rayonnante Clarté du Christ.

J’ai apprécié cette recherche permanente pour arriver à une connaissance de plus en plus proche du divin, qu’il décrit flamboyant d’Amour, de Grâce, de Miséricorde et de Douceur.

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Toutes ces pages écrites dans un style brillant, plein de cultures et d’érudition mais également plein de fine sensibilité et d’élan poétique, m’a remplie d’émotions.

Dans cette émotion, dans cet enrichissement spirituel, une vision de cathédrale céleste s’est imposée à mon esprit…

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L’homme de demain aura peut-être un cœur « cathédrale » pour la gloire et la louange de Dieu, comme il l’écrit dans un texte poétique intitulé Cathédrales de Joie.

Les textes de Dominique Bouffies, nous plongent dans un temps à venir où le cœur de chair se fera cathédrale dans un partage mutuel de Foi, d’Espérance et de Charité.

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En remerciement à l’auteur, je reprends ici un passage lu et apprécié, figurant page 49 de l’ouvrage Le Lever du Cœur : « Se vider pour se remplir, voilà le sublime échange qu’établit l’Esprit de Vie. L’homme devient reflet de Paix : s’abandonner pour se trouver, grandir en s’anéantissant. »

Suzanne

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- Etat de grâce   2012

- L’Etant-Joie, petit traité sur la vie des âmes   2013

- Le Lever du Coeur, monographie méditative et priée sur le Coeur Sacré de Jésus   2013

- L'homme revisité   2014

- Pensées pour Lui : Père, Fils et Esprit   2015

- Monologue à l'intime présence   2016

- Le Proche-Inaccessible   2017

- Via Jésus-Christ, du monde des contratses et des oppositions à l'Espace d'Unité   2018

- A coeur & à croix venez! Recueil de textes pour les fêtes de l’année liturgique   2019

- Ode à Celui qui EST   2020

- Aux bras ouverts, tendresse du Crucifié   2021

- Rencontre Eucharistique   2022

- De la prière & du détachement, Exultation   2023

- Le sacerdoce oublié - Tous prêtres!  2024

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